15 janvier 2008
Faut qu'on parle.
« Anaïs, assieds-toi, faut qu’on parle. » Ca commençait toujours comme ça. Comme si parler pouvait arranger les choses. La solution miracle. Tu parles. Mais ils avaient l’air d’y tenir, à leur solution miracle. Alors j’obéissais en soupirant. Et j’attendais...